Mais non, c'était des vacances familiales -- je t'assure, j'étais AVEC mes parents la première fois que j'ai visité Montréal. Néanmoins, un instant, tout simple, de la magie: tout ce que j'ai vu était familier, mais changé: arrêt/STOP; tirez/PULL; poussez/PUSH; rue/STREET; banque/BANK, etc. Il me semblait une code complexe mais en quelque sens facile à pénétrer. Pour mon père, cependent, une code presque parfaite. Il n'a jamais aimé la langue quand il l'a étudié à l'école, et maintenant, à Québec, il se sentait à la fois attiré et aliené, surtout parce que, pour lui, les injures et les imprécations sont absolument nécessaires. Alors il a crée un monstruosité pour crier de notre vieux char aux autres conducteurs. Une traduction directe. "You merde-tête!" Même à l'âge de dix ans, la phrase m'a parue un peu bizarre.
Je suis venue à Montréal seule, la première fois, à l'âge de quatorze ans, comme un cadeau de "graduation" et pour améliorer mon français. Et j'ai passé mon temps là avec des nationalistes et séparatistes franchement à gauche, ce qui m'a beaucoup marqué -- c'était en 1980.
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Je suis venue à Montréal seule, la première fois, à l'âge de quatorze ans, comme un cadeau de "graduation" et pour améliorer mon français. Et j'ai passé mon temps là avec des nationalistes et séparatistes franchement à gauche, ce qui m'a beaucoup marqué -- c'était en 1980.